|
Hassi Bounif
Réalisation du réseau Internet fibre optique
Le cahier de charges a-t-il été respecté?
Hier, à hai chahid Mahmoud, certains habitants
étaient étonnés de trouver des niches souterraines de raccordement de câbles internet, réalisées au bord de la chaussée et sur la rigole d’écoulement des eaux pluviales, située sur la route principale donnant accès au village. « En premier lieu, les dalles de ces niches ne vont pas résister pendant longtemps au poids des dizaines de bus et des dizaines camions et des semi-remorques qui empruntent chaque jour cette route », disent ces habitants. En second lieu, ces niches souterraines sont installées sur une route en pente, que les eaux pluviales dévalent en torrents lors des averses. «Les dalles de ces niches souterraines ne résisteront pas longtemps au poids des véhicules lourds qui empruntent cette route, et lors des averses elles seront inondées par les eaux pluviales, et gêneront leur écoulement naturel. En plus de cela, lorsque les auto-constructeurs coulent leurs dalles, le lavage des pompes à béton se fait sur place, ce qui veut dire que le béton ira droit dans ces dernières», s’accordent à dire plusieurs habitants, avant d’ajouter que l’endroit approprié d’installation de ces niches a toujours été sur les trottoirs et non pas sur la chaussée.
A.Bekhaitia
Mers El Kebir (haï Dadayoum ex- sainte Clotilde)
Réalisation d’une passerelle sur la RN2
Le projet tant attendu tarde à se concrétiser
Les habitants de la localité
de Dadayoum, (ex- saint
Clotilde), dans la commune de Mers El Kebir, relevant de la daïra d’Ain El Türck, ont tout récemment sollicité l’écho d’Oran afin d’interpeller les autorités locales pour le projet de réalisation d’une passerelle au niveau de la RN2 tant promis.
En effet, selon nos interlocuteurs, un danger les guette quotidiennement à chaque fois qu’ils traversent la route nationale N°2, plus connue sous le nom de la route des tunnels. « C’est un axe routier de la corniche oranaise, très convoité journellement par les files interminables de véhicules et d’engins, allant d’Ain El Türck à Oran et vise versa, en été comme en hiver ». Pour eux, il est plus crucial qu’une passerelle tant promise depuis des années soit érigée afin de parer toute éventualité et afin de permettre aux piétons d’enjamber en toute sécurité, cet axe routier. Cet ouvrage garantira selon les habitants rencontrés sur les lieux, un tant soi peu, leur sécurité sachant pertinemment que plusieurs accidents ont été signalés à ce niveau.
Face à cet état de fait, les habitants disent avoir interpellés à maintes reprises les autorités compétentes pour l’installation d’une passerelle pour éviter tous les risques, mais sans que ces dernières ne bougent le petit doigt. Cependant, l’attente de la population de haï dadayoum, ex- saint Clotilde n’a que trop duré, et le projet de la réalisation de la passerelle tarde à voir le jour.
Lahmar Cherif M
|
|